6) Alphonse de Lamartine
(scrittore e poeta; Mâcon 1790 – Parigi 1869)
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Opere:
Jéhovah ou l'idée de dieu e altri brani della raccolta
Harmonies poétiques et religieuses
Anno di composizione: 1830
Genere: poesia
Poeta, scrittore, uomo politico e storico francese del '900, nella sua raccolta poetica
Harmonies poétiques et religieuses figurano quattro liriche che recano nel titolo il nome di Dio: si tratta di
Suite de Jéhovah - Le Chéne;
Suite de Jéhovah - L'Humanité (anche nel testo, una volta);
Suite de Jéhovah - L'Idée de Dieu e
Jéhovah ou l'idée de Dieu (anche nel testo, una volta). Nella stessa opera il nome di Geova si può trovare anche nelle poesie
Poésie, ou Paysage dans le golfe de Gênes;
Impressions du matin et du soir (due volte);
Le Cri de l'Âme (due volte);
Hymne au Christ;
Hymne de la mort;
Hymne de l’ange de la terre après la destruction du globe.
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Testo nel quale occorre il nome di Dio:
I. Poésie, ou Paysage dans le golfe de Gênes
Pourquoi, devant ce ciel, devant ces flots qu'elle aime,
Mon âme sans chagrin gémit-elle en moi-même,
Jéhovah, beauté suprême?
II. Impressions du matin et du soir
Soleil, voile de feu dont ton maître se couvre,
Quand tu reviens frapper les voûtes de la nuit,
Le firmament résonne et l'espace s'entr'ouvre,
Et Jéhovah se montre à l'ombre qui te fuit.
...
Chaque heure a son tribut, son encens, son hommage,
Qu'elle apporte en mourant aux pieds de Jéhovah;
Ce n'est qu'un même sens dans un divers langage,
Le matin et le soir lui disent : « Hosannah! »
III. Jehovah, ou l'idée de Dieu
Dissipez, vains mortels, l'effroi qui vous atterre!
C'est Jehova qui sort! Il descend au milieu
Des tempêtes et du tonnerre!
IV. L’Humanité
A de plus hauts degrés de l'échelle de l'être
En traits plus éclatants Jehova va paraître,
La nuit qui le voilait ici s'évanouit!
V. Le Cri de l'Âme
Jehova! Jehova! ton nom seul me soulage!
Il est le seul écho qui réponde à mon coeur!
VI. Hymne au Christ
Non, jamais de ces feux qui roulent sur nos têtes,
Jamais de ce Sina qu'embrasaient les tempêtes,
Jamais de cet Horeb, trône de Jehova,
Aux yeux des siècles n'éclata
Un foyer de clarté plus vive et plus féconde
Que cette vérité qui jaillit sur le monde
Des collines de Golgotha!
VII. Hymne de la mort
Tu verras quels êtres habitent
Ces palais flottants de l'éther,
Qui nagent, volent ou palpitent,
Enfants de la flamme et de l'air,
Choeurs qui chantent, voix qui bénissent,
Miroirs de feu qui réfléchissent,
Ailes qui voilent Jéhovah,
Poudre vivante de ce temple
Dont chaque atome le contemple,
L'adore et lui crie : « Hosannah! »
VIII. Hymne de l’ange de la terre après la destruction du globe
Est-ce toi, terre inanimée?
Est-ce toi que j'ai vue, hélas! il n'est qu'un jour,
Des doigts de Jéhovah t'élancer enflammée
Comme une étincelle allumée
Au foyer de vie et d'amour?[Modificato da EverLastingLife 27/04/2020 19:54]